Le 8 mars est la journée internationale des droits de la femme. Belle occasion pour jeter un oeil sur la représentativité des sexes des quasi 4.000 personnes ayant utilisé Diag26000 pour évaluer le score RSE de leur entité.
Premier constat, la répartition des réponses entre les deux sexes n’est pas totalement équilibrée. Si la différence n’est pas dramatique elle reste toutefois significative : plusieurs points d’écarts entre les 2 sexes. Je vous lance donc un appel mesdames : Venez rétablir l’équilibre !! Profitez donc de ce 8 mars, et des jours suivants, pour réaliser en quelques minutes le diagnostic RSE de votre entité en cliquant sur ce lien.
Un second constat, plus inquiétant, concerne la répartition des sexes par niveau de responsabilité. Rappelons que Diag26000 s’adresse à tous les niveaux de responsabilité, par opposition à de nombreux outils de diagnostic réservés aux dirigeants ou experts. Le croisement de la réponse à la question sexe avec celle portant sur le niveau de responsabilité est édifiant. Le déséquilibre est 1/3 – 2/3 pour le niveau dirigeant et le pourcentage de femme est plus important dans les réponses des exécutants. Notons au passage que cela semble rendre crédible la représentativité du panel de personnes ayant utilisé Diag26000 : d’après les derniers chiffres le pourcentage de femme présente dans les CA du CAC 40 est légèrement supérieur à 30%, donc totalement en phase avec le nombre de 33% de femmes dirigeantes ayant utilisé Diag26000.
Une autre question importante. Existe-t-il des différences entre la perception RSE moyenne de ces dames et de ces messieurs, comme l’on peut en constater au niveau des salaires par exemple ? L’analyse des réponses des quelques 4.000 diagnostics réalisés débouche sur un constat clair : aucune différence significative, sur aucune des questions centrales de la norme (contrairement à ce qui se passe lorsque l’on réalise l’analyse en fonction des niveaux hiérarchiques)
